Nébuleuse d'Orion
Décidément, la nébuleuse d'Orion à vraiment ma faveur. Ici, une manière plus subtile de rendre toute sa beauté à ses volutes d'hydrogène et d'hélium, et les quelques photons vibrant encore sous le souffle d'une étoile. L'univers est tout sauf apaisé. C'est un brassage fou de forces herculéennes, de tsunamis de feu et d'écume d'étoiles. Un ravissement à contempler. Plus tard je vais tenter de capter un fantôme lointain, la galaxie d'Andromède à plus de 2,4 milliards d'années lumière, contenant plus de 1000 milliards d'étoiles et leurs planètes. Et c'est la plus proche. Ce monde n'est décidément pas à notre mesure.